Écrire un mémoire, une plaie ?
En effet, cette étape d’un stage, d’une alternance ou d’une thèse paraît bien lourde et fastidieuse. Pourtant, elle ne peut être négligée : c’est à partir de ce document que votre travail sera évalué.
Mais comment faire pour réussir l’écriture de ce manuscrit ? Pour bien commencer, voici 5 erreurs à éviter lors de la rédaction de votre mémoire ou thèse !
1. Ne pas vous fixer d’objectifs avant la rédaction d'un mémoire
Se lancer les yeux fermés dans l’écriture de son mémoire est le meilleur moyen pour se retrouver face à la problématique de la page blanche.
Pour éviter cela, voici notre conseil : fixez-vous des objectifs ! Puis définissez des deadlines, ainsi qu’un plan (qui répond à la problématique posée dans votre mémoire ou thèse).
Enfin, lancez-vous ! N’oubliez pas de bien vous tenir à votre planning, sans quoi vous risqueriez de prendre du retard sur votre rédaction.
2. Tout rédiger d’une traite sans faire appel à votre tuteur
Si vous devez rédiger un mémoire, un rapport de stage ou une thèse universitaire, vous avez sans doute un tuteur.
Son rôle est de vous aider à valider le plan que vous aurez défini au préalable, à vous réorienter si jamais vous partez sur une fausse piste et à répondre à toutes vos questions.
Aussi, ne l’oubliez pas ! Car ses validations sont fondamentales.
3. Copier – coller du contenu au sein de votre rapport
Saviez-vous que le plagiat est passible de lourdes peines ? L’exclusion de votre formation, en particulier, peut vous faire perdre de précieuses années.
Pour éviter cela, veillez bien à ne jamais copier/coller du contenu d’autres auteurs. Si vous devez faire une citation, mettez-la bien en évidence à l’aide de guillemets et en indiquant les références du document dont elle est issue.
Enfin, vous pouvez utiliser un logiciel anti-plagiat tels que PlagScan et Compilatio Studio pour vérifier que ce que vous avez rédigé ne risque pas d’être considéré comme du plagiat.
4. Intégrer des informations sans se justifier à l’aide de sources fiables
Citer ses sources et ses références représente un point d’importance lors du processus de rédaction. Car, sans cela, comment l’examinateur pourra-t-il savoir si la partie théorique s’appuie sur des données fiables ?
De plus, ne pas les intégrer dans votre mémoire pourrait être considéré comme une forme de plagiat. Bien sûr, ces sources ne peuvent pas être une simple page web : référencez des travaux académiques, des articles scientifiques et des thèses de doctorat. Ces derniers ont bien souvent été validés par des pairs (c’est-à-dire que d’autres chercheurs ont lu ces travaux), ce qui n’est bien évidemment pas le cas pour un simple article de blog ou de presse. C’est pourquoi certaines sources seront considérées comme valides tandis que d’autres, non.
Pour trouver de telles références bibliographiques, vous pouvez vous appuyer sur des bibliothèques universitaires ainsi que des outils en ligne, tels que Google Scholar, Jstor ou encore Consensus.
5. Éviter de se relire après avoir rédigé son mémoire ou sa thèse
La relecture est, certes, la dernière étape du processus de rédaction d’un mémoire. Pour autant, elle n’est pas à négliger !
Vous pouvez même faire appel à un relecteur (votre tuteur, par exemple… ou une personne extérieure à vos recherches). Cette tierce personne aura une autre vision sur votre contenu et pourra même vous aider à trouver les erreurs d’orthographe, de ponctuation ou de formulation.
Vous ne savez pas à qui faire appel ? Confiez-nous votre document : relire et corriger des textes est notre métier. Nous vous aidons même jusqu’à la réécriture pour améliorer le style et les tournures de phrases !
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